Yoga et Méditation

Ecrit le oct 19, 2010 | 2 commentaires

LE YOGA

Le but du yoga est de s’unir en cette vie avec le Suprême.
Le Suprême est appelé Brahman, c’ est à dire Dieu, par les hindouistes. On le nome OM.
Le Suprême est appelé Nature de Bouddha, par les bouddhistes.

Je vais suivre ici la présentation hindoue du Swami Veetamohananda de l’ ashram de Gretz.
Présentation qui suit elle même le traité de yoga du sage Patanjali : « Les yoga Sutra » ou vous trouverez les termes sanskrits employés ici. Les termes Pali et la fin de la présentation proviennent des discours du Bouddha et des tantras bouddhistes.
Au lieu de les traduire par les termes philosophiques habituels, je les ai souvent traduits par des termes issus de la psychologie moderne.

Brahman est Dieu non manifesté.
L’ Atman est la première manifestation de Brahman.
L’ Atman est l’ Ame universelle, notre âme individuelle fait partie de l’ Ame universelle.
L’ Atman est la seule réalité, le Samsara, le monde, est moins réel et transitoire.

Brahman est éternel, l’ Atman est un processus.
Pour un bouddhiste, le concept le plus voisin de l’ Atman est la Nature de Bouddha.
Pour un athée, le concept le plus voisin de l’ Atman est la Vie.

Le but du yoga est donc plus précisément de s’ unir à l’ Atman, d’ être vivant.

Le yoga travaille sur les 3 plans : corporel, mental, spirituel, pour les harmoniser avec le Suprême
Il faut pratiquer le yoga consciemment.
On intensifie la conscience par :
- Une forte motivation dans la pratique.
- Une intensification de chaque activité élémentaire.
o Par exemple, avec des Asanas ou kriyas intenses. Mais la difficulté est de ne pas se blesser.
- Par une activation de la Buddhi. La buddhi parfois appelée discrimination ou intelligence du cœur est la capacité de VOIR, c’ est à dire percevoir, sans penser.
o Par exemple, on l’ active en répétant un mantra au début de la pratique.

Il y a 2 types de yoga : le yoga inférieur et le yoga supérieur.

1) Le yoga inférieur se pratique sans la buddhi.
Il comporte 2 étapes.

A) La première étape est la purification par les disciplines.
a. Spirituelles comme la prière.
b. Corporelles comme les Asanas, les postures. C’ est le Hata yoga « occidental ».

B) La deuxième étape est l’ harmonie du corps et du mental.
Dans le cosmos il existe une harmonie, un équilibre.
Cet équilibre est le travail de Shakti, la force divine, que l’ on personnalise comme la Mère divine. Durga dans l’ hindouisme, Vajrayogini, dans le bouddhisme tantrique.
Son aspect cosmique est le Prana.
Son aspect individuel est Kundalini.
Dieu nous laisse libre de continuer ou non sa création, et nous met cette force à disposition.
Pour nous recréer cette harmonie du corps et du mental, le yoga utilise le Pranayama, la force respiratoire.
Cela équilibre Ida et Pingala : la relaxation et la tension.

2) Le yoga supérieur se fait avec la buddhi.
C’ est le Raja yoga, la méditation.

C’ est la Vie qui guide ce yoga.

Les 3 caractéristiques de la vie sont : la construction /destruction, l’ évolution, la conscience.

- Au niveau corporel la construction/destruction s’ appelle l’ anabolisme et le catabolisme.
- Au niveau mental, les émotions négatives et les pulsions sont un processus destructeur et doivent être compensés par un yoga ou discipline mentale, comme la pensée positive.
- Au niveau spirituel, le yoga transforme la conscience, et c’ est la méditation qui est le yoga le plus efficace.

La méditation n’ amène pas directement à la supraconscience, elle le fait par étapes décrites par Patanjali et Bouddha.
La première étape est le calme mental.

Malheureusement, seule la dernière étape de la méditation, l’ illumination, est une transformation définitive.
Dans toutes les étapes précédentes, la méditation est un outil d’ élévation, c’ est à dire de transformation temporaire, qui élève l’ état de conscience, mais n’ est pas une méthode de transformation définitive.

La raison en est que nos comportements sont déterminés par nos expériences passées : instincts ou expériences de la race humaine, pulsions ou expériences traumatiques initiales, apprentissages ou expériences ultérieures.

Comment surmonter les effets du passé ?
Le yoga utilise 3 principes pour cela.

1) Chaque action et expérience émotionnelle laisse une empreinte dans l’ inconscient, appelée Samskara par les anciens, ou engramme de nos jours.
Cet engramme comporte :
a) Une mémoire de certains aspects sensoriels de la situation.
b) Une émotion souvent traumatique, et une pensée d’ acte.
c) Une réaction qui était l’ acte approprié dans le contexte initial.
Si une nouvelle situation se présente de nos jours, différente mais avec une ressemblance partielle au contexte mémorisé dans l’ inconscient, elle va tendre à provoquer la même réaction, inadéquate et traumatique maintenant.

2) Deux forces agissent dans le mental.
La force mentale d’ expression, et la force mentale d’ extinction.

La force mentale d’ expression exprime un engramme en émotion, désir, ou aversion.
Car la similitude sensorielle de l’ expérience nouvelle avec l’ expérience traumatisante, recrée l’ émotion et la pensée initiale.
Le sanscrit nome vritti, c’ est à dire vague mentale, une émotion ou pensée.
Cette vague mentale provoque la tendance à l’ acte initial, c’ est à dire la réaction traumatique automatique.

Les engrammes traumatiques sont la cause de nos souffrances actuelles, et nous devons nous en libérer par la force mentale d’ extinction au moyen du yoga de la méditation.

3) La force mentale d’ extinction agit superficiellement ou profondément.

A) La force mentale d’ extinction agit superficiellement par le contrôle des vagues mentales. On l’ appelle vritti niroda, cessation des pensées.
Elle arrète les vagues mentales et les renvoie à l’ engramme.

C’ est à la cessation des pensées que nous avons recours dans la méditation Shamatha, lorsque nous nous concentrons sur l’ objet de concentration, par exemple le souffle dans les narines, et que nous éliminons ainsi toutes les pensées adventices.

B) La force mentale d’ extinction agit profondément par le contrôle des engrammes.
Il y a des milliers d’ engrammes dans notre inconscient, regroupés en complexes au sens du psychanaliste C.G.Jung.
Le contrôle de l’ engramme peut se faire de 2 façons.

a) Premièrement par un mécanisme automatique de l’ inconscient.
Par la succession des stimulis, un souvenir, une émotion en remplace un autre. Ou encore, un mécanisme de défense appelé refoulement par Freud fait ce remplacement. Par exemple, la peur remplace le désir.
Dans ce cas, l’ engramme ne perd pas son pouvoir.

b) Deuxième façon de controler l’ engramme : par le pouvoir de la volonté.

Les engrammes étant dans l’ inconscient, la volonté ne peut prendre contact directement avec eux. Seuls sont controlables ceux qui sont présentement activés par nos stimulis sensoriels ou associations de pensées. On accède à l’ engramme par le souvenir associé.

Par le contrôle de la buddhi, la discrimination ou intelligence du cœur, on comprend l’ expérience traumatique passée activée par l’ expérience actuelle.
Puis on ne réagit pas comme dans le passé.
On renvoie cette compréhension dans l’ inconscient, cela se fait tout seul.

L’ engramme n’ est pas détruit, mais son émotion est changée, et l’ association entre l’ émotion et la réaction est rompue.

Cela veut dire que pour se libérer du passé, il faut revivre les expériences traumatisantes du passé avec le contrôle conscient de la volonté et de la buddhi.

Si l’ on se contente de les revivre et d’ en pleurer sans buddhi, comme dans le yoga inférieur, on ne fait que les renforcer et en souffrir plus !

Si l’ on se contente d’ écarter les vagues mentales produites par l’ engramme, comme dans le petit Shamatha, la vague est retournée à l’ engramme sans compréhension et on souffre autant quand l’ effet hypnotique de la méditation est passé.

Comment procéder pour mettre en œuvre la force d’ extinction supérieure et volontaire ?
Il y a 2 méthodes.

1) La première méthode est mentale.
C’ est Vipasana, la vision profonde à l’ intérieur de son psychisme.
Vipasana a été inventée par Bouddha, sa pratique consiste à observer nos sensations émotions, pensées et souvenirs qui surgissent dans la vie ordinaire quand un engramme est activé, comme il a été expliqué précédement. Et a suivre l’ enchainement des causes et des effets, c’ est à dire nos conditionnements; il a beaucoup insisté sur ce point dans ses sutras.
Cette forme de Vipasana a été rapidement abandonnée, car sans doute trop complexe pour les anciens. Heureusement les psychologues modernes l’ ont retrouvée avec la théorie des engrammes, la PNL, ou la Psychologie nucléaire de B. Montaud.

2) La deuxième méthode est spirituelle.
On observe nos vagues mentales dans la vie ordinaire ou dans l’ assise méditative depuis une émotion positive supérieure.
On s’ identifie volontairement au Suprème ce qui remplace involontairement l’ émotion traumatique par la sagesse, la félicité, ou l’ amour divin.
Alors, l’ association entre l’ émotion traumatique et la réaction est coupée, et l’ on se trouve dans la liberté d’ action de la créativité divine.

Comment s’ identifier au suprème ?
Il y a 2 méthodes psychiques, et 2 méthodes psycho-physiques.

1) Première méthode psychique: le Shamatha tantrique ou l’ on s’ identifie émotionnellement au Suprème en se visualisant en Déité.

Une Déité tantrique est un objet de méditation, ce n’ est pas un dieu ou une déesse réelle. Mais c’ est plus que cela, c’ est la forme que prend pour nous le Suprème Brahman ou Nature de Bouddha, qui est sans forme.

Au début, le méditant visualise une forme vide : le Samayasattva, l’ etre de vœux.
Et le dévot a fait le vœux lors de son initiation, de visualiser le Suprème sous cette forme tous les jours.
Cette forme n’ est pas quelconque, elle est celle dans laquelle le Suprème s’ est manifesté à un saint.

Puis le méditant invoque par la prière la Présence divine : le Jnanasattva, l’ etre de sagesse, c’ est à dire la présence du Suprème.
Enfin, le méditant se visualise lui-même en déité, peut etre ce que font certains chrétiens avec le Christ après la communion ou le pain est le corps du Christ et le vin son sang.
Les divinités tantriques, par exemple Vajrayogini boivent du sang dans une coupe cranienne, et le dévot boit du vin symboliquement à son initiation. Le sang symbolise la Vie Eternelle.

2) Deuxième méthode psychique: le grand Shamatha du Dzogchen, du Mahamoudra ou du Védanta, par lequel on atteint l’ étape ultime de la méditation.

C’ est l’ état de conscience ultime, la Nature de l’ esprit.
Cette Nature de l’ esprit est la Nature de Bouddha.
C’ est à dire que notre Atma est l’ Atma universelle qui est elle-même le Brahman.

3) Première méthode psycho-physique.
On atteint le Suprème par une montée de Kundalini obtenue par un yoga tantrique. Il combine la dévotion par les mantras, au Pranayama, à la concentration sur les chakras, et aux exercices physiques intenses et longs. Mais ce Kundalini yoga nécessite un corps jeune et peu fragile, sinon on se blesse. Il faut aussi la présence d’ un gourou.

4) Deuxième méthode psycho-physique.
Dans le yoga tantrique ultime, l’ Anutara Yoga Tantra, par exemple le yoga de Vajrayogini la Mère divine, on combine la méthode dévotionnelle de la déité, avec la méthode psycho-physique de travail sur les chakras. On ne pratique pas les postures ou exercices physiques éprouvants, sauf le Pranayama des rétensions poumons pleins avec les bandhas.

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La Méditation

Ci après un aide mémoire de nos pratiques. Certaines informations générales données sur la page « méditation » du site ne sont pas redonnées ici.

Bouddha a enseigné 2 méthodes de méditation : Shamatha et Vipassana.

Shamatha, la pratique du calme mental, permet de s’ élever vers le Suprème dans les états de conscience.

Pour commencer
- On s’ assoit colonne droite
- On rentre en soi meme en ignorant les perceptions sensorielles.
C’ est Pratyara, l’ étape du retrait des sens.
Pratyara libère la conscience du monde extérieur au profit de la conscience du monde intérieur.
De ce fait, la conscience est plus ouverte aux pensées des engrammes .
Après une minute de calme mental, le débutant est submergé par les préoccupations traumatiques !

Pour les ignorer, on se concentre sur un objet (Shamatha avec objet), par exemple le souffle naturel perçu à l’ entrée des narines, et on ignore tout le reste.
C’ est Dharana, l’ étape de la concentration.
Cela demande un double effort.

1) Effort de vigilance car les pensées traumatiques ont tendance à captiver la conscience et faire oublier le souffle.

2) Effort de ramener la conscience, la présence d’ esprit, sur le souffle et d’ ignorer les pensées, qui si elles sont traumatiques semblent plus urgentes et prioritaires que le souffle !
Une méthode est de les noter sur un papier.

Dharana la concentration se caractérise par 3 facteurs mentaux :
- l’ effort de vigilance
- la volonté de maintenir l’ attention à l’ objet
- la volonté de ramener l’ attention à l’ objet quand on l’ a perdue
- la stabilité intermittente de l’ attention à l’ objet.

Si Dharana est réussit, l’ objet d’ attention devient plus psychique et hypnotique : le Nimita ou double similaire ( … )
L’ attention devient sans effort, le pratiquant entre dans l’ étape de Dhyana, la contemplation.

Il y a 8 étapes de Dhyana.

Ce sont les 8 états de conscience ou l’on peut etre par la pratique de Shamatha ou de vipassana.

Les 4 premiers Dhyana appartiennent au monde de la forme.
Ce sont les états de conscience ordinaires des esprits vivant dans ces mondes plus élevés que le notre.
Ils ont encore des perceptions sensorielles visuelles, auditives, et olfactives.
Les 4 Dhyanas suivants appartiennent au monde sans forme, les mondes très élevés ou on est pur esprit sans corps astral.
Il y a encore un Dhyana supérieur ou le corps est en catalepsie. On y meurt au bout de quelque temps, l’ esprit demeure dans le Nirvana.

Les 8 Dhyanas sont repérables par des facteurs mentaux.

1er Dhyana :
- volonté de contemplation de l’ objet psychique
- volonté de rammener l’ attention sur l’ objet.
- stabilité de l’ attention
- bonheur
- joie.

2ème Dhyana
- stabilité de l’ attention
- bonheur
- joie.

3ème Dhyana
- stabilité de l’ attention
- bonheur
- équanimité

4ème Dhyana
- stabilité de l’ attention
- équanimité

5ème Dhyana
- monde de l’ espace infini

6ème Dhyana
- monde de la Conscience infinie

7ème Dhyana
- monde de la Vacuité : absence de pensée consciente (ou de la pensée vide)

8ème Dhyana
- monde au dela de la conscience cognitive : monde de la Présence autocognitive qui habite la Vacuité.

9ème Dhyana
- Nirvana : l’ extinction

Shamatha et Vipassana

Shamatha veut dire Calme mental

Shamatha avec objet

Objet souffle, ou déité, ou…
Chaque fois qu’ une vague mentale arrive, on l’ ignore, on reste attentif au souffle.

Shamatha sans objet

Objet psychisme (esprit) contenant, c’ est à dire l’ espace mental et non son contenu, les vagues.
Son identification est facile dans le calme mental :
L’ absence de pensée.
L’ intervalle entre 2 pensées.
Pour cela on ralentit les pensées par les asanas ou le pranayama préliminaire.
Ou encore par Shamatha avec objet.
Ou par la prière.
Chaque fois qu’ une vague mentale arrive, on l’ ignore, on reste attentif à l’ esprit, l’ espace mental.

Maha Shamatha

Objet : la nature de l’ esprit .
Son identification est plus facile avec le vide mental. On ne confond plus le contenu informationnel de l’ esprit, avec sa « substance » appelée nature.
Cette Nature est :
- vacuité
- luminosité, c’ est à dire cognition, l’Esprit Saint
- énergie créatrice. On dit souvent compassion car la compassion est agissante.
Chaque fois qu’ une vague mentale arrive, on l’ ignore, on reste attentif à la nature de l’ esprit.

Vipassana (Vipashyana) veut dire vision profonde (introspection)

Vipassana avec objet

Objet souffle, …
Chaque fois qu’ une vague mentale arrive, on observe sa forme « énergétique » et non son sens, donc sans s’ y identifier.
- Si on l’observe fortement, elle se dissout
- Si on l’ observe légèrement, elle se déroule naturellement. C’ est cette observation qu’ il faut pratiquer.

Vipassana sans objet

Idem avec objet esprit comme dans Shamatha avec objet.

Vipassana du Bouddha

Observer ce qui se passe dans l’ esprit et le corps : humeurs, attitudes, shémas comportementaux, souvenirs,…
Observer aussi les causes et effets, c’ est à dire nos conditionnements.
On entre dans le sens des pensées, émotions, actes, mais sans s’ y identifier.
On est un observateur détaché de nous meme grace à l’ entrainement de Vipassana sans objet, et au calme de Shamatha.
C’ est ce qu’ on appelle en PNL la dissociation et en bouddhisme le détachement.

Du temps du Bouddha, le renoncement s’ obtenait par le renoncement monastique aux désirs et le sens du devoir (Dharma).
Dans le tantrisme on obtient la dissociation de l’ égo par l’ identification au Suprème.

Maha Vipassana

Observer la Nature de l’ esprit en mouvement, c’ est à dire la « substance » des pensées.

Les 4 yogas du Dzogchen Semdé

1) Maha shamatha (Shiné)

- 1ère méthode : Shamatha sans objet, puis retourner la conscience sur elle-même , puis lacher
- 2ème méthode : Vipassana sans objet, observer fortement une pensée, elle se dissout, rester dans l’ état obtenu sans changement.

2) Maha Vipassana (Lhatong)

Constater que la nature de l’ esprit en vide mental est la meme nature que celle des vagues mentales.

3) Union des deux (Nyimed)

Dans Maha Vipassana, discerner à la fois les vagues mentales et le calme mental sous jacent qui les crée et ou elles retournent.
C’ est cela la nature de Bouddha : ce vide créateur, plein d’ une présence énergétique.
Vacuité, cognition, énergie de la compassion.
C’ est cela le Suprème en nous.

Pour les bouddhistes, dans la voie du Dzogchen, il est vacuité, conscience et compassion.
Pour les bouddhistes, dans la voie du Tantra, il est vacuité, conscience et félicité.
Pour les hindouistes, il est existence, conscience et félicité.
.
Pour les chrétiens, on pourrait dire qu’il est existence (Je Suis), conscience (l’ Esprit saint) et amour (le Christ).

Pour les athées, c’ est le vide quantique.

4) Non méditation (Lhundrup)

Agir dans la vie depuis cet état d’ esprit : agir en Bouddha.

2 Réponses à“Yoga et Méditation”

  1. Bonsoir,
    Exposé très clair et très instructif! Félicitations!
    Cependant, il ne faut pas oublier que la réactivation d’un engramme ne peut se faire qu’à des périodes bien précises (plages de deux à cinq jours environ).
    Cela explique pourquoi, lors d’une séance il ne se passe rien (séance en dehors des plages propices), ou -au contraire- on avance très vite dans la libération d’engrammes (séances à l’intérieur des plages).
    Cordialement
    Michel

  2. Bonjour
    Votre commentaire est très intéressant. J’ai mis du temps à répondre car je ne savais pas encore administrer le site. J’ai validé votre réponse, mais peut etre pourriez vous la développer dans une nouvelle réponse que je mettrai à la place de celle ci?
    Amicalement dans le dharma
    G.Karam

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